Sous peu, en ces colonnes, honneur et bonheur, la prose acerbe d'Henri Mycose, ancien universitaire spécialiste de Kundera, désormais membre actif et viril du C.A.K.E. Cette nouvelle rubrique de Macache ! s'intitulera "La Parole à Mycose" ; billets d'humeur, recensions rageuses au programme. Pour rappel, le portrait de ce vieil Henri :
Henri Mycose était un universitaire dérangeant pour l’Université, au look très post-dadaïste : une allure de bon élève avec des grosses lunettes, en costume toujours correct mais qu’on pressentait capable du pire. A juste titre. Rétrospectivement, sa prédilection pour les cravates cuisses-de nymphes parait annonciatrice de l’une des déviances qui lui ont valu sa récente mise à pied. Depuis, Mycose a décidé de régler ses comptes non seulement avec sa stricte éducation judéo-chrétienne, mais aussi avec sa hiérarchie, ses collègues, et enfin avec bon nombre de ses soit-disant amis écrivains, performers, poètes dont il a vanté durant toutes ces années les oeuvres du haut de sa chaire, et qui depuis sa disgrâce l’ont lâchement laissé tomber.
A lire sur le site du C.A.K.E, un extrait de son "Journal d'une auto-destruction"
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