Les animaux les plus comiques sont les plus sérieux ; ainsi les singes et les perroquets.

Charles Baudelaire, De l'essence du rire, Le Portefeuille, 1855.

jeudi 28 avril 2011

La Parole à Mycose

Sous peu, en ces colonnes, honneur et bonheur, la prose acerbe d'Henri Mycose, ancien universitaire spécialiste de Kundera, désormais membre actif et viril du C.A.K.E. Cette nouvelle rubrique de Macache ! s'intitulera "La Parole à Mycose" ; billets d'humeur, recensions rageuses au programme. Pour rappel, le portrait de ce vieil Henri :




Henri Mycose était un universitaire dérangeant pour l’Université, au look très post-dadaïste : une allure de bon élève avec des grosses lunettes, en costume toujours correct mais qu’on pressentait capable du pire. A juste titre. Rétrospectivement, sa prédilection pour les cravates cuisses-de nymphes parait annonciatrice de l’une des déviances qui lui ont valu sa récente mise à pied. Depuis, Mycose  a décidé de régler ses comptes non seulement avec sa stricte éducation judéo-chrétienne, mais aussi avec sa hiérarchie, ses collègues, et enfin avec bon nombre de ses soit-disant amis écrivains, performers, poètes dont il a vanté durant toutes ces années les oeuvres du haut de sa chaire, et qui depuis sa disgrâce l’ont lâchement laissé tomber. 


A lire sur le site du C.A.K.E, un extrait de son "Journal d'une auto-destruction" 

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