Le génie du crime, l’empereur de l’ épouvante, le maître des transformations saugrenues, celui qui modifie à volonté son visage et dont le costume, perpétuellement changeant, défie toute description ; celui à qui ne s’applique aucun signalement, celui sur qui les balles ne portent pas, sur qui s’émoussent les lames, qui absorbe les poisons comme d’autres le lait.
Pierre Véry, Les Métamorphoses, N.R.F., 1931.
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